Le mois de juillet a été caractérisé par un étiage prononcé et de fortes
chaleurs. Ce qui n'est pas l'idéal pour faire de belles parties de pêche à la
mouche dans notre région. J'ai préféré remettre à plus tard certaines journées
de guidages pour ne pas trop déranger les poissons, qui sur certains secteurs
de la rivière avaient déjà bien du mal.
Au début du mois, s'il valait mieux rester tranquille les après midi et se
réserver pour les coups du soir qui offraient de superbes possibilités de
pêche, avec de grosses truites bien attablées.
Les spents cdc en taille 18 et 20, furent les plus efficaces.
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Une variante avec un corps en quill de paon teint en
rouge. (une nouveauté pour 2016 !)
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Après avoir délaissé la rivière pendant les épisodes caniculaires, je la
retrouve en fin de mois pour préparer quelques journées de guidage. Malgré les
fortes chaleurs, la température de l'eau n'est pas excessive et les poissons,
truites et ombres, sont en appétit !
Avec mon ami Clément, nous vivrons même le coup du soir le plus hallucinant
de notre vie, avec une quarantaine d'ombres attablés en surface. Bilan de la
journée : une quinzaine de poissons chacun avec une taille moyenne à 40
cm. Cool !
Les guidages se passeront pour le mieux. La pêche n'était pas évidente mais
chaque journée assurera son lot d'émotion.
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Course poursuite !
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Ça valait le coup de courir un peu
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C'est en sèche que la plupart des poissons furent capturés avec la mouche
incontournable sur la Loue, l'aile avancée beige en taille 18 et 20. catalogue 2015
Le mois se termine avec une chute vertigineuse de la température. Une aubaine
pour faire fuir les baigneurs bien trop nombreux à mon gout!
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En cherchant les bancs d'ombres, on tombe parfois
sur un banc de Hollandais !
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Ce changement brutal de la météo perturbera légèrement les conditions de
pêche, mais en creusant un peu, on trouve toujours de belles truites actives en
surface.
Le mois d’août est maintenant bien entamé. Les pluies et les orages
fréquents alimentent les rivières en eau fraîche. Tant mieux, car nous ne
sommes pas passé loin d'une catastrophe (de plus) sur nos rivières.
A très bientôt,
Matthieu Pornon
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